mercredi 22 avril 2015

PRIORITE JEUNESSE / UNE DOSE D'OPTIMISME !

L'actu
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C'est le printemps, une petite dose d'optimisme par les ZEPeurs?
Je ne veux pas subir le monde, je veux le vivre!
 
Face au monde, je me sens impuissante. Les images « chocs » et les mots remplis de violences, de haine, circulent. Ils s’affichent, puis disparaissent pour laisser la place à ceux qui débarquent fraîchement. Quand je navigue sur internet, quand je ne sais pas quel magazine choisir avant de monter dans un train, quand je lève la tête et que je vois les gros titres sur les kiosques à journaux… je me sens blessée par le monde. Ce trop-plein de mots et d’images nous attire dans une spirale de désespoir. Et cela devient presque « normal ». Malgré soi. Il arrive que je lise un mot, et que je m’arrête. Je ferme tout. Je me réfugie ailleurs. 
Kanelle, 22 ans, Rouen

Quel malheur cette quête du bonheur!
 
Il parait après toutes ces années qu’on n’a pas compris le bonheur, qu’on n’a pas pu lui donner un sens, un mot qui le désigne. Il parait, hélas, qu’on n’a pas su être heureux. La farce dans tout cela c’est que je me demande ce que je pourrai dire un jour à mes enfants s’ils me demandent ce que c’est le bonheur. Je serai certainement hésitant, effrayé de donner un sens qui n’existe pas. Il est intéressant de réussir, d’atteindre son but, de réaliser ses rêves, mais je me suis souvent demandé ce que c’est que réussir : Est-ce avoir de l’argent ? Est-ce avoir un diplôme ? Ou fonder une famille épanouie ?
.Mohammed, 22 ans, étudiant en licence de philosophie, Rouen
Métro, sourire et balafon
Paris, station Nation, 08h30. Traits tirés, bâillements répétés, gens pressés. La routine quoi. Je presse également le pas, j’ai un métro à attraper. Je me faufile entre les passants, observe tous ces gens qui checkent leur montre et marchent si vite qu’on croirait presque qu’ils trottinent. C’est aussi ça Paris, une ville de gens pressés. Soudain, des sonorités africaines. Pourtant, alors que j’atteignais l’interminable escalator de Nation, de jolies notes de musiques retentirent dans l’air. Sonorités africaines, je reconnais tout de suite ce genre de mélodie. 
Hawa, 23 ans, volontaire en Service Civique, Ile-de-France

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