mardi 30 septembre 2014

TOURNÉE DES INOUÏS DU PRINTEMPS DE BOURGES 01/10/14

Le Printemps de Bourges s’est doté d’un dispositif national et original de repérage et de sélection de nouveaux talents qui s’appuie sur 29 antennes régionales et 5 conseillers artistiques : Les iNOUïS du Printemps de Bourges Crédit Mutuel. Le festival a créé Réseau Printemps pour mettre en œuvre ce dispositif dont la mission est de repérer des jeunes artistes, rock, chanson, électro et hip hop dans le but de les présenter au public du festival ainsi qu’aux professionnels présents.




L'Autre Canal accueillera donc entre ses murs le 1er octobre:

CHAPELIER FOU
Chapelier Fou publiait son premier Ep Darling Darling Darling il y a déjà 5 ans. Mais 5 ans, c’est finalement bien peu au regard de l’immense chemin parcouru par le lorrain. Quatre EP, deux albums, plusieurs musiques de films, des concerts aux quatre coins du globe, des morceaux dans les playlists des djs les plus exigeants, une renommé d’ampleur internationale...Et dorénavant un troisième album intitulé Deltas qui élargit encore d’avantage le panel d’émotions qu’est capable de transmettre cet artiste singulier.

BILLIE BRELOK (Prix du Printemps de Bourges)
Attention, gros buzz, grosse claque. Un look improbable de fille normale, une origine péruvienne inhabituelle dans les mythologies banlieusardes et surtout un flow démentiel et des lyrics fascinants de virtuosité, d’invention et de dureté. Lançons le débat : Billie Brelok, c’est la GiedRé ou le Louis-Ferdinand Céline du hip hop français ?

MARK BERUBE (Prix du jury – iNOUïS 2014) 
Mark Berube est une nouvelle preuve de la richesse étourdissante de la scène montréalaise. Mais il a bourlingué de l’Afrique du Sud aux Amériques, et sa musique porte les traces de mille voyages dans le temps – un marimba à la Philip Glass, un refrain hypnotique très eighties, du folk éthéré, une pop que le violoncelle de Kristina Koropecki tire tantôt vers le Berlin de Weill, tantôt vers un salon XIXe…

THYLACINE (iNOUïS 2014 du Printemps de Bourges)
Le tigre de Tasmanie était un carnassier lent et fragile que les humains ont exterminé. William Rezé a repris son nom scientifique, Thylacine, pour baptiser son projet d’electronica arty. Avec la voix pop et aérienne de Camille Després (angevine, comme lui), ce beatmaker et saxophoniste construit des textures électro élégantes et mélancoliques. Ah, sa reprise de Ne me quitte pas…


Ouverture des portes 19h30 - Début des concerts 20h00
10€

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