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L'actu des jeunes La 2e édition du Prix PEPITE est lancée ! Quoi? Un PEPITE permet à tout étudiant ou jeune diplômé qui souhaite être formé à l’entrepreneuriat et à l’innovation d’être accompagné et aidé par le travail mis en réseau d’établissements d’enseignement supérieur, d’acteurs économiques et celui des réseaux associatifs qui, en s’inspirant les uns des autres, permet aux bonnes idées de se diffuser. Qui? Peuvent participer les étudiants et jeunes diplômés de 18 à 30 ans, porteurs de projets ou chefs d’entreprises créées depuis le 1er juillet 2014 et aux jeunes porteurs d'innovations technologiques et non-technologiques. Quand? date limite pour le dépôt des candidatures fixée au 30 mars Pourquoi? 53 prix sont à gagner en 2015, allant de 5000 à 20 000. Plus d'infos ici! Le thème qui nous fait réagir On veut toujours ton avis sur Le harcèlement de rue Tu en as été victime, témoin ou alors...tu ne vois pas où est le problème? A retrouver prochainement sur la ZEP: le témoignage d'Hawa qui a participé à une table ronde sur le harcèlement de rue avec Pascale Boistard, Secrétaire d'Etat chargée des Droits des femmes, grâce à l'initiative de madmoizelle.com ! http://www.stopharcelementderue.org/ Le sexisme, ils/elles en avaient déjà parlé:

Non le sexisme n'est pas une fatalité   Notre époque est sexiste. Oh bien sur, j’entends d’ici des voix s’élever : « Sexiste, non mais j’te jure.. » «  De toute façon, les féministes, c’est des hippies ou des lesbiennes hein ? Ahahah. Et puis qu’est-ce qu’elles veulent de plus hein ? Vous avez voulu travailler et voter, faut pas vous plaindre maintenant ! » Sauf que ces voix là oublient une chose : le féminisme, ce n’est pas un mouvement qui s’oppose aux hommes. C’est un mouvement qui se questionne sur la place des femmes dans la société, et par rapport aux hommes. Les féministes, ce sont des personnes – hommes ou femmes – qui luttent contre les inégalités ou atrocités commises sur les femmes. Cécilia M., 20 ans, Toulouse Non, je ne suis pas une princesse Pour les semaine des droits de la Femme, organisée à Perpignan, des jeunes femmes réunies à l'AFEV témoignent de quelques stéréotypes sexistes, pour mieux les déconstruire. Si possible, avec une bonne dose d'humour! Nous aussi on a le sens de l'orientation! Je commence à me demander si les pires machos ne seraient pas...mes copines! Parce que, comme dirait mon ultra-féministe de mère, pour qu'il y ait des bourreaux, il faut bien qu'il y ait des victimes! En présence de filles et de couples de mon entourage, je commence à me dire que certaines tendent le bâton pour se faire battre: et que je te minaude pour un verre, et que je te fais le chaton pour que tu me fasses des bisous, et que "oh mon amoureux, il faut que tu me répares ça, je ne sais pas le faire!" (l'amoureux en question n'ayant pas un doctorat en moustiquaires, on peut douter de sa capacité si évidemment supérieure pour réparer celles des fenêtres..).  Laetitia, 19 ans Lutte contre les discriminations: Non, personne ne veut unisexer vos enfants!   « L’Académie de Nantes demande aux garçons de se mettre en jupe vendredi pour lutter contre les discriminations », pouvait-on lire dans le Figaro ce mercredi matin. Peu après, Olivier Vial, porte-parole de « l’Observatoire de la Théorie du Genre » tweetait : « L’Académie de Nantes incite les garçons à porter une jupe et du rouge à lèvre ce vendredi 16 mai. #ConchitaWurstStyle ». Il n’en fallait pas plus (et il ne leur en a jamais fallu beaucoup, d’ailleurs) pour déclencher la colère et l’indignation des anti-mariage-pour-tous, des machos, et des butés. Au coeur de ce scandale, évidemment, la théorie du genre que le gouvernement voudrait, selon eux, imposer. Thomas, 18 ans, étudiant, Lille

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